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Home›Actualités›Djibouti-ville : Le MASS plongé dans les réalisations de programmes et de projets stratégiques contre la pauvreté

Djibouti-ville : Le MASS plongé dans les réalisations de programmes et de projets stratégiques contre la pauvreté

By Connex Design
9 janvier 2025
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Sous l’égide du Président de la République, Son Excellence, M. Ismail Omar Guelleh, Djibouti a intensifié depuis ces derniers temps sa lutte contre la pauvreté. Du PNSF, au dernier né, le projet « Mobilisation des Communautés pour une meilleure nutrition », les réalisations sont nombreuses à Djibouti-ville. En s’appuyant sur sa Stratégie Nationale de Protection Sociale Non Contributive (2023-2027), le Ministère des Affaires Sociales et des Solidarités, principal département concerné par le sujet, entend répondre aux besoins des plus vulnérables et renforcer le capital humain, à travers des programmes novateurs et des actions concrètes. Une stratégie qui servira de ligne directrice au programme de l’édition 2025 de la semaine nationale de la solidarité dont le lancement est prévu, après-demain, samedi 11 janvier, à Ali Sabieh. Une semaine où le MASS sera plongé dans les réalisations de programmes et de projets stratégiques contre la pauvreté. Dans cet article, nous allons explorer brièvement les initiatives en cours à Djibouti-ville tout en mettant un accent particulier sur le programme de la microfinance islamique et celui du développement urbain intégré communément appelé PDUI 2 et 2 bis, porté par l’ADDS dans les quartiers Layabley et Moustiquaire dans la commune de Balbala. Deux projets qui ont eu un impact significatif.

A Djibouti, la pauvreté reste un défi crucial affectant, selon les données de l’EDAM-2017, 39 % de la population. Face à cette réalité, le Ministère des Affaires Sociales et des Solidarités (MASS) a conçu une stratégie ambitieuse, alignée avec la Vision Djibouti 2035, pour renforcer les filets sociaux et autonomiser les ménages les plus vulnérables. Ce voyage au cœur des projets sociaux du MASS nous emmène dans les quartiers de Balbala et Boulaos, où espoirs et défis se croisent.

Une Stratégie au Service des Plus Vulnérables Elaborée en 2023, la Stratégie Nationale de Protection Sociale Non Contributive repose sur quatre axes clés, le renforcement institutionnel et coordination intersectorielle, la mise en place de mécanismes permettant de répondre aux chocs économiques et climatiques, le soutien de programmes d’autonomisation et d’activités génératrices de revenus (AGR) et l’amélioration des infrastructures et services sociaux de base. Ces orientations traduisent une volonté de briser le cycle de la pauvreté intergénérationnelle en plaçant les communautés au cœur des initiatives. Il s’agit pour notre gouvernement de consolider par ce biais, la position du pays en matière économique et commerciale, en donnant la priorité à la croissance et au développement du capital humain.

Des programmes phares….

Du projet ASEHL Assistance Sociale pour les élèves Handicapés Lycéens, au programme d’Assistance sociale pour les Etudiants des régions (ASERI), en passant par celui d’Assistance aux étudiants handicapés de l’université, aux étudiants défavorisés et à besoins spéciaux de Djibouti-ville les programmes sont nombreux. Le Programme National de Solidarité Familiale (PNSF), qui offre une aide alimentaire régulière à plusieurs milliers de familles à travers des transferts monétaires et des rations alimentaires, en est un exemple concret de réussite. Habitant dans le quartier Cheikh Moussa dans la commune de Balbala, Kadra Omar Kalinleh bénéficiaire de ce filet de sécurité, témoigne : « Grâce à l’aide alimentaire, nous avons de quoi nourrir nos enfants chaque mois » nous dit-elle.

En ce qui concerne le programme d’Assistance Sociale de Santé (PASS) qui garantit l’accès aux soins médicaux essentiels. Hawa Doualeh Abdillahi nous confie « Avec cette carte d’assurance, mes enfants reçoivent des soins gratuits, ce qui a sauvé mon fils ».

Le PDUI 2 et 2 bis, une aubaine pour les quartiers Layabley et Moustiquaire

Porté par l’Agence Djiboutienne de Développement Social (ADDS), le Programme de Développement Urbain Intégré 2 (PDUI 2) transforme profondément les quartiers défavorisés de Layabley et Moustiquaire à Balbala. À travers des projets ambitieux en infrastructures, services sociaux et initiatives communautaires, ce programme redéfinit le développement urbain en plaçant les habitants au centre de ses priorités.

Depuis des années, les quartiers de Layabley et Moustiquaire souffraient d’un manque criant d’infrastructures et de services de base, freinant leur essor. Avec le PDUI 2, l’ADDS amorce une transformation durable en s’appuyant sur une approche intégrée qui allie urgences actuelles et vision à long terme.

Plus de 15 km de routes ont été aménagés, facilitant les déplacements des habitants et réduisant les risques d’accidents. L’ajout d’éclairages publics contribue à une meilleure sécurité et accessibilité.

La mise en place d’un réseau de drainage moderne réduit les inondations récurrentes et les maladies liées aux eaux stagnantes.

Des espaces verts et aires de jeux offrent désormais des lieux de détente et de rassemblement, renforçant la cohésion sociale et améliorant l’esthétique urbaine.

Mais c’est surtout le volet social du PDUI 2 qui a permis des avancées notables. 500 ménages ont été sensibilisés aux bonnes pratiques d’hygiène, et 42 latrines améliorées ont été réhabilitées.

87 jeunes ont obtenu un permis de conduire, et des formations techniques ont été dispensées à plusieurs groupes, notamment dans des métiers artisanaux comme la taille de pierre.

Dans le domaine de l’éducation, les associations locales ont pu distribuer quelque 720 uniformes et création d’une bibliothèque pour une école accueillant 600 élèves. En ce qui concerne l’énergie, le branchement de 11 ménages aux réseaux publics et distribution de kits solaires à 8 foyers ont été réalisés.

Grâce à des programmes de microcrédit, plus de 200 micro-entreprises ont vu le jour, couvrant des domaines variés tels que la couture et la restauration.

Les jeunes, fortement touchés par le chômage, bénéficient de formations techniques adaptées dans les métiers de la construction : maçonnerie, plomberie et électricité.

Les comités de quartier et ateliers participatifs ont permis d’identifier les priorités des habitants et de suivre les progrès du programme.

Des formations ciblées encouragent les habitants à jouer un rôle actif dans la gestion des infrastructures mises en place.

Le PDUI 2 dépasse la simple rénovation urbaine. Il s’agit d’une réinvention communautaire, où infrastructures modernes et initiatives sociales s’entrelacent pour construire un avenir prometteur. Layabley et Moustiquaire se dressent aujourd’hui comme des modèles de résilience et d’innovation. En misant sur une approche intégrée et participative, l’ADDS trace la voie vers un développement urbain inclusif et durable pour tout le pays.

La microfinance, un mécanisme prometteur, pour bâtir un avenir meilleur

Introduite à Djibouti en 2008, la microfinance en générale et plus particulièrement sa version islamique, lancée quelques années plus tard, s’est rapidement imposée comme un véritable outil de lutte contre la pauvreté. Les chiffres parlent d’eux-mêmes. Les réseaux de la CPEC ont enregistré, plus de 56 160 bénéficiaires de micro-crédits pour développer des activités économiques variées. Pour sa part, le programme de la microfinance islamique a débloqué un montant total de 516 171 132.54 DJF, pour financer des nombreuses activités génératrices de revenus permettant aux quelques 4228 bénéficiaires du programme, de sortir de la précarité et de bâtir un avenir meilleur.

Face au défi contre la pauvreté, le gouvernement djiboutien à travers l’Agence Djiboutienne de Développement Social (ADDS) et notamment en collaboration avec les partenaires au développement (BM, BAD, BID, AFD, …..) a mis en place, à Djibouti-ville et dans les régions de l’intérieur, des nombreuses institutions de microfinance (Caisses Populaires d’Epargne et de Crédits [CPEC] et des unités de microfinance islamique) qui ont pour mission d’offrir des services financiers adaptés dont notamment des microcrédits, aux communautés vulnérables qui, jusqu’à présent, n’avaient pas accès aux services bancaires formels.

Lancé en 2008, ce nouveau système de financement vise entre autres, à promouvoir le développement socio-économique des jeunes et des femmes, qui constituent les tranches de nos concitoyens, les plus durement frappées par le chômage. Il s’agit pour l’ADDS, instigatrice de ce programme, de stimuler chez les uns l’auto-emploi à travers la création des petites structures économiques et d’encourager chez les autres leurs autonomisations, avec le financement et la pérennisation de leurs Activités Génératrices de Revenus (AGRs).

Mais c’est surtout la microfinance islamique, introduite quelques années plus tard, qui s’est révélée, la plus efficace dans le contexte djiboutien.

Offrant des services financiers conformes aux principes islamiques, dont notamment des prêts exempts d’intérêt, la microfinance islamique, a débuté en 2011, dans les quartiers ‘‘Bahache’’, ‘‘Qaraawil’’, ‘‘Cheikh Osman’’, ‘‘Cheick Moussa’’ et ‘‘Quartier 5’’ de Balbala. Intervenue dans le cadre du programme de Réduction de la Pauvreté Urbain de Balbala (PREPUB) mise en œuvre par l’Agence Djiboutienne de Développement Social (ADDS), dans ce secteur de la capitale djiboutienne, la microfinance islamique s’est imposée aussitôt comme une alternative prometteuse, ouvrant de nouvelles opportunités, pour des milliers de petits entrepreneurs et commerçants à faible revenu, lors de sa phase pilote.

Le programme gagne la confiance des communautés et la demande grandissante sur l’ensemble du territoire national, a valu au département de la microfinance de l’ADDS, alors chargé du développement du secteur, d’élargir ce système de financement conforme à l’islam, sur la capitale et dans les régions de l’intérieur, afin de le faire profiter à une tranche plus large des communautés pauvre du pays.

Il est à noter que les institutions de microfinance islamique ont d’abord mis en place des programmes d’éducation financière pour sensibiliser les clients sur les principes de la finance islamique et les aider à comprendre les méthodes de gestion, de planification stratégique, et de suivi-évaluation, tout en restant fidèle aux principes de la finance islamique en vue de prendre notamment des décisions financières éclairées. Ces initiatives ont contribué à renforcer la confiance des clients dans ces institutions et à promouvoir une culture de gestion financière responsable. Actuellement, le programme de la microfinance islamique a permis de soutenir un large éventail d’activités génératrices de revenus (AGRs), axées dans divers secteurs tels que le commerce (boutiques alimentation générale, des quincailleries, des boutiques de vente de matériel électronique, des commerces de fruits et légumes, des boucheries, …etc), la restauration, des tricycles-taxi, communément appelé BAJAJ, la menuiserie, l’artisanat, le BTP, mais également dans celui de l’agropastoral et des nombreux projets liés aux activités de pêche.

Sa réussite repose sur ses programmes de financement exempt d’intérêts (riba) et d’incertitudes (gharar), optant plutôt pour des mécanismes tels que le partage des bénéfices et la participation aux pertes.

Les réseaux CPEC comptent actuellement plus de 56 160 membres, en majorité des femmes, avec un encours de crédit atteignant 86 119 101,6 DJF au 30 avril 2023. L’Unité de la microfinance islamique de de l’ADDS, n’est pas en reste, elle a mobilisé pour sa part, plus de 516 millions de DJF depuis le démarrage de ses activités de financement de milliers de micro-projets, selon les statistiques consolidées au 31 juillet 2024. Ces montants montrent non seulement l’ampleur des financements octroyés, mais aussi la capacité des bénéficiaires à rembourser leurs prêts, renforçant ainsi la viabilité du système.

« L’unité de la microfinance islamique enregistre, 4228 bénéficiaires dont 3156 sont des femmes et 1072 des hommes » nous indique, Kadra Omar Kamil, alors directrice du département microfinance à l’ADDS.

Parmi elles, Kaltoun Ali Dideh. Responsable d’une famille nombreuse, la dame a pu transformer grâce à des prêts successifs qu’elle a eu de l’unité de la microfinance islamique de l’Av 13, son petit étal de vêtements en une boutique de grossiste.

Utilisant le mode Mourabaha, qui repose sur un financement sans intérêt avec des frais de gestion minimes, la microfinance islamique a permis à Mohamed Bahloul Abdallah, alors pêcheur de prospérer dans ses activités, passant de simple pêcheur à propriétaire d’une seconde pirogue, élargissant ainsi son entreprise en employant d’autres pêcheurs.

Comme Mme Kaltoun Ali et Mohamed Bahloul, le système de financement islamique a ouvert des opportunités commerciales à des milliers de femmes et hommes du pays, y compris celles des différents camps réfugiés du pays, soutenant également des milliers d’autres entrepreneurs à faible revenus. « Les activités génératrices de revenus, que nous avons financées sont nombreuses », nous apprend la cheffe de la direction ‘‘Microfinance’’ de l’ADDS, Kadra Omar Kamil.

Bien que, son programme de microfinance islamique, émerge actuellement comme un levier essentiel de lutte contre la pauvreté, Kadra Omar ne compte pas s’arrêter là. Elle souhaite transformer la microfinance islamique en une institution financière à part entière, dans le cadre d’un programme de partenariat public/privé, afin qu’il soit a-t-elle précisé « un moteur puissant de développement socio-économique ouvrant la voie à un nombre encore plus large de Djiboutiens en situation de précarité et contribuant ainsi à la prospérité collective de la nation ». Pour y parvenir, le directeur général de l’ADDS, Mahdi Mohamed Djama, qui partage la même conviction, compte beaucoup sur le soutien des bailleurs de fonds et des ministères concernés.

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