Le directeur général de l’agence djiboutienne de développement social(ADDS) a inauguré dimanche dernier des lampadaires solaires au chef-lieu de la région d’Obock. Et ce au grand soulagement des personnalités locales et des simples anonymes qui voient d’un bon œil l’irruption de ces moyens modernes d’éclairage public dans leur cadre de vie.
Le directeur général de l’agence djiboutienne de développement Social, Mahdi Mohamed Djama, et plusieurs membres de son staff technique se sont rendus au chef-lieu de la région d’Obock.
Le déplacement rentrait dans le cadre de la vulgarisation des activités de développement social du maître d’ouvrage délégué.
L’objectif de cette visite était double. En effet, il s’agissait d’une part de tenir une réunion de validation de microprojets pour les structures associatives d’Obock, et d’autre part de procéder à l’inauguration des lampadaires solaires dans la ville de Hayu.
Arrivée en début de matinée de dimanche dernier, la délégation de l’ADDS conduite par son directeur général a eu une réunion de travail dans la salle de conférence du Conseil régional, avec le comité de pilotage de microprojets sociaux.
Lors de cette réunion, il a surtout été question de valider une palette de microprojets émanant du tissu associatif local. Sur les 13 projets sélectionnés qui ont été soumis au vote anonyme, 4 ont été validés après concertation.
Dans la soirée de cette même journée, le directeur général de l’ADDS a procédé à l’inauguration des lampadaires solaires dans la ville d’Obock.
L’événement a vu la participation du préfet de la région, Hassan Dabaleh Ahmed, du président du Conseil régional, Ali Houmed Hassan, des notables coutumiers, des responsables d’associations et une foule de riverains.
La cérémonie inaugurale de ces lampadaires a soulevé l’enthousiasme des personnalités locales et des simples anonymes qui voient d’un bon œil l’irruption de ces moyens modernes d’éclairage public dans leur cadre de vie.
Bref, la mise en service des lampadaires solaires vient à point nommé pour illuminer les nuits obockoises.
